HALAKHA - LOI JUIVE, nos livres
Torah Emet vous propose des livres de Halakha selon le minhag sépharade, avec des halakhot actuelles pour aider chacun dans les pratiques juives. Nos livres de Halakha se particularisent par leur simplicité et fidélité à la tradition rabbinique. Nos Guides pratiques (bénédictions, pureté familiale, Shabbat, Jour de Fête), ont déjà beaucoup séduit le public jusqu’à même motiver beaucoup de gens aux pratiques religieuses.
Des livres pour comprendre la culture juive
Nos livres de Halakha peuvent intéresser aussi bien des enfants du Talmud Torah que des étudiants des écoles talmudiques.
Tout ce que nous écrivons en général prend sa source dans des versets bibliques ou des enseignements tirés du Talmud, approuvés chaque fois par un grand Rav, parfois d’Israël, parfois d’Angleterre, parmi les grands érudit en Torah.
Nos livres montrent un aspect de la culture juive encore méconnu du grand public, car il n’y a pas de culturel sans cultuel, il n’y a pas de culture juive sans rite juif, la langue elle-même du peuple juif, l’Hébreu, a une origine biblique, l’histoire juive elle aussi prend sa source dans les récits bibliques, c’est pourquoi elle est indissociable de la religion juive… Et la politique juive, qui a toujours rencontré des problèmes jusqu’à ce jour, devrait s’inspirer des récits bibliques, de la manière dont les rois gouvernaient à l’époque biblique, et tirer leçon de leurs échecs lorsqu’ils éloignaient le peuple de la pratique de la religion juive.
Le désir fervent de chaque Juif de retourner sur sa terre provient du commandement divin d’hériter de la terre sainte, comme il est dit dans le Deutéronome (1, 8) “Allez et prenez possession du pays”. C’est pourquoi même le courant sioniste, né au dix-neuvième siècle, dans lequel D.ieu était ignoré, prend sa source dans la tradition juive, dans une Mitsva clairement énnoncée dans la Torah.
Que préconise la Halakha ? Trouvez dans nos livres des réponses à vos questions
Nos livres se proposent d’aider chaque Juif pratiquant à savoir comment se comporter d’après la Halakha dans toutes les situations de la vie juive, quoi faire et quoi ne pas faire (commandements positifs et négatifs), et comment le faire. Leur diversité permettra au lecteur de trouver, avec l’aide de D.ieu, le cas qu’il recherche dans des domaines comme la pratique de Chabbat, des Jours de fête, de la pureté familiale, de la prière, les lois des bénédictions, ainsi que dans des sujets plus relationnels comme le Lachone Hara, les transactions commerciales, le chalom bayit, l’éducation des enfants…
Bien que l’origine des lois juives soit biblique, leur explication détaillée provient de la Michna et de la littérature rabbinique (Talmud...) Cette littérature étant vaste - si vaste qu’elle constitue l’objet principal des études juives et des cours de Torah, elle aboutit souvent à des avis divergents sur les mêmes sujets de Halakha. Pour éviter toute confusion, toute incertitude dans la pratique judaïque, nos livres ont la particularité de ne pas rapporter plusieurs opinions sur un même sujet, mais de donner un seule opinion, la décision rabbiniques jugée la plus officielle selon les grands décisionnaires juifs séfarades d’aujourd’hui.

Comment se conformer au minhag ?
Le Minhag, la Coutume, est un ensemble de règles qui ont été adoptées par une communauté. Il fait généralement force de loi. Il y a deux grandes coutumes: le Minhag Sépharade et le Minhag Ashkénaze, et chacun suit son Minhag, les enfants suivant le Minhag de leur père.
“Ce qu’enseignent certains décisionnaires, que le Baal Téchouva, le repenti, doit suivre le Minhag de son rav, ne s’applique selon moi qu’au cas où ce dernier décide et tranche un Din, une loi, selon son étude. Mais dans le cas d’un Minhag suivi par le rav, le rabbi, non issu de son étude personnelle mais de la force des coutumes juives de ses pères qui eux-mêmes ont reçu, selon le cas, les décisions halakhiques du Marane (sépharade) ou du Rama (ashkénaze), dans un tel cas il n’y a pas lieu de dire que l’élève doit suivre le Minhag de son rav.” (Or Létsion Vol 2, Préambule.)
Comment la loi juive définit-elle l’identité juive ?
La judéité d’une personne dépend de l’identité de sa mère. Si la mère est juive, l’enfant est juif, si la mère n’est pas juive, l’enfant n’est pas juif, et ce même si le père est juif et que l’enfant appartient à un groupe de Juifs pratiquants. Être juif ne dépend donc pas d’une croyance spirituelle ou d’un endroit de naissance. Être juif dépend donc uniquement de quel corps l’enfant sort car c’est à ce moment qu’il reçoit son âme juive, qui lui permettra par l’observance des Mitsvot, d’acquérir son Monde Futur, la rédemption de son âme. Il est possible de devenir juif à part entière par une conversion sincère.
